Ju On The Curse 2

Critique de Ju On The Curse 2

Le premier épisode de Ju On : The Curse, qui est le penchant TV de la série Ju On : The Grudge m’avait plutôt intéressé et je me suis dit que le second volet ne devait pas être mauvais.

Une mauvaise impression

Dès les premières minutes de Ju On The Curse 2, je commence à avoir des doutes, les scènes se ressemblent, et 5 minutes plus tard, je prend la boite du DVD pour regarder s’il s’agit bien de l’épisode 2. En effet, les scènes sont carrément identiques au premier opus pendant 30 minutes. Là, je me demande si j’ai bien fait de le regarder.

Une impression de déjà vu ?

À priori les scènes se ressemblent énormément, voir sont identiques. Mais je ne peux vraiment les comparer, sachant que le premier opus à été critiqué, il y a presque deux mois. Mais à ce que j’ai pu voir, il me semble que certaines scènes diffèrent quelque peu des originales. Ce passage de 30 minutes me laisse dubitatif sur son intérêt dans ce second opus. Un rappel pour le spectateur ? Je dirais plus simplement, une manière de nous replonger dans cette univers et de faire le lien avec la seconde partie de Ju On The Curse 2, suite directe au premier opus.

Un second morceau plus intéressant

Et là, on devient content d’avoir tenu pendant les 30 premières minutes du film, affrontant à nouveau l’univers macabre de Takashi Shimizu. Ce second passage est d’ailleurs au cœur des screenshots établies pour cette critique. Il permet d’aller un peu plus loin sur cette malédiction qui engendre la mort sur les personnes touchées par cette dernière. Le scénario de Ju On The Curse 2 devient de plus en plus intéressant et intense et se termine par un excellent passage ou l’on peut apercevoir Saeki ainsi que ses clones poussées le cri si particulier dans l’enceinte d’un lycée.

Ju On The Curse 2 reste un bon divertissement et une superbe approche à l’univers de Takashi Shimizu (Marebito, Reincarnation). Une série qui à apporté son lot de frisson et d’inventivité dans le domaine de l’horreur japonaise. Une série à voir, dans le noir…