Stop that Bitch Campaign est un film qui m’a intrigué par son titre. Je savais que je ne devais pas en attendre quelque chose d’incroyable, mais à vrai dire, j’ai résisté à la tentation pendant au moins 3 ans, avant de croiser à nouveau son chemin et de succomber à son appel. Voici ma critique du film Stop that bitch campaign !

Scénario de Stop that bitch campaign

Un gérant de Téléphone Club traque les jeunes adolescents qui se prostituent pour mieux assouvir ses besoins. Cependant, elles ne se laissent pas aussi facilement faire…

Critique de Stop that bitch campaign

Stop that bitch Campaign tape à l’œil par son titre et le cover du DVD, difficile alors de résister à la tentation, ne serait-ce de la curiosité. Alors que dire de cette œuvre d’exploitation vidéo japonaise, si ce n’est que rien que son titre, indique ce à quoi on va avoir affaire durant un peu moins d’une heure.

L’histoire de Stop that Bitch Campaign

Commençons déjà par l’histoire de Stop that bitch campaign, si l’on peut tenter d’appeler cela une histoire, plutôt qu’un prétexte au sexe et à la violence. Kuni, interprété par Kenichi Endo, tient la barre d’un « Téléphone Club », une sorte d’endroit où l’on peut téléphoner à des filles pour passer du temps avec elles. Cependant, sa mission n’est pas de gérer cette affaire, mais d’intercepter les communications entre le client et la demoiselle pour stopper la prostitution de ces adolescentes.

Mais en réalité, cela va bien plus loin que cela, car Kuni cherche à travers ce subterfuge à lui-même violer ces adolescentes et en faire son commerce. Sauf qu’en face, les filles ont une nouvelle tendance, piéger les clients en les dévalisant à l’aide de leurs amis aux bras musclés et à la batte à clou. D’ailleurs plus d’un en fera les frais.

Présence d’un acteur indispensable

Si l’on doit s’intéresser à un point dans Stop that bitch campaign, c’est sûrement celui de la présence de l’acteur Kenichi Endo, un drôle de type pour un drôle de rôle. Ce personnage est vraiment le point central de l’histoire, il est vraiment doué pour interpréter ce rôle de pervers ayant pété une durite. Du coté du film en lui-même, ce n’est pas vraiment subtil. On y traite de problèmes de société sans pour autant réellement approfondir le sujet. Ce n’est finalement qu’un prétexte pour amener violence et sexe.

Entre le film et le documentaire

D’ailleurs, Stop that bitch campaign semble voir se faire passer pour une sorte de film réaliste, quasi-documentaire. On aurait aimé un peu plus de mise en scène et un scénario un peu plus fouillis. Pourtant, Stop that bitch campaign, n’est pas un mauvais film. En effet, le rythme est tout de même soutenu, l’ambiance nipponne permet de se divertir, puis la présence de Kenichi Endo est vraiment un atout. C’est donc une curiosité que je ne regrette pas d’avoir vu, même si ce n’est pas un film mémorable.

Informations sur Stop that bitch campaign

2001 | Japon | 57 mins | Docu-fiction érotique | Un film de Suzuki Kosuke | Avec Kenichi Endo, Nakajima Jutemu, Suwa Taro, Yamaguchi Yoshiyuki, Sato Mikio, Makabe Ayaka, Seki Honami et Tono Koharu

Stop that bitch campaign
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Résumé
Date de la critique
Titre du film
Stop that bitch campaign de Suzuki Kosuke
Note
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