Dark Tales of Japan 2004, c’est des histoires d’horreur japonaises datant de 2004 dans un DVD ! Oui, c’était tout de même certain avec un titre comme celui-ci. Mais que trouve t-on à l’intérieur ? Suivez-moi !

Critique de Dark Tales of Japan 2004

Tout d’abord, je ne suis pas grand fan de ce type de cinéma (J-horror), mais j’aime beaucoup les légendes du Japon et entre autres celles liées aux histoires d’esprits et de fantômes. Dark Tales of Japan 2004 s’intègre parfaitement à ses mythes et légendes. Le 1er court métrage de Dark Tales of Japan 2004 est : The Spider Woman (21 minutes).

Histoire plutôt intéressante, un groupe de jeune aperçoivent lors d’un passage sous un pont à l’occasion d’une discussion sur la « Dame Blanche », une chose vivante sans trop l’apercevoir, la panique est à bord et c’est l’accident mortel. Quelques jours plus tard, une fille se fait également attaquer au même endroit. La presse commence à s’intéresser à cette histoire qui va vite devenir une légende urbaine sans grande preuve, juste par des rumeurs et du bouche à oreille.

Bientôt, tous le monde parle de cette chose qui serait en fait, une femme araignée. Jusqu’à ce que l’un des journalistes soit confronté à cette créature… Ce court métrage ne fait pas spécialement peur, comme d’ailleurs tous les court métrages de ce coffret, mais l’histoire est assez intéressante et cette femme araignée assez intrigante.

Le second court-métrage de Dark Tales of Japan 2004 est : « Crevices » (10 minutes) Il s’agit cette fois-ci d’une histoire d’esprits.
Un homme emménage dans un appartement au troublant passé. Celui-ci découvre que tous les ouvertures, tels que les contours de fenêtres, de portes, de tiroirs, d’armoires sont recouverts de scotch rouge. Les enlevant rapidement, il va se rendre bientôt compte que ceci avait un but… empêcher un esprit de pénétrer dans le monde réel. En effet, une vieille légende explique qu’un esprit pour passer du monde des esprits au monde réel, celui-ci doit trouver une ouverture de n’importe qu’elle type.

Pour empêcher cela, on fermait toutes ses ouvertures afin de protéger sa demeure. J’aime beaucoup ce court métrage de Dark Tales of Japan, malgré qu’il soit un peu court.

Le troisième court-métrage de Dark Tales of Japan 2004 est : « The Sacrifice » (18 minutes). Encore une histoire d’esprit maléfique. Une jeune femme repousse les avances de l’un des ses supérieurs hiérarchiques et ce dernier se venge en s’immiscent dans sa vie, et en pratiquant des rituels étranges de malédiction tels que des incantations accompagné de symboles dessiner avec du sang humain ou encore d’invocations de mites et autres insectes. C’est alors que la mère de cette jeune femme va se sacrifier en récitant des sûtras à longueur de journée pour protéger sa fille de cette malédiction et que celle-ci se déplace vers elle plutôt que sur sa fille.

A vrai dire, je n’es pas tout compris, mais l’histoire était tout de même intéressante. Il ne s’agit pas de la meilleure histoire de ces différents courts-métrages présent dans le coffret Dark Tales of Japan.

Le quatrième court-métrage de Dark Tales of Japan 2004 est : « Blonde Kwaidan » (8 minutes) Alors là, j’ai été déçu.
Il s’agit d’un court-métrage de Takashi Shimizu connu pour sa série des Ju-On (The Grudge, etc…) Et là je me suis retrouvé face à une histoire sans intérêt, et plutôt comique. Un homme occupe la maison d’un cadre diplômé pendant son absence et découvre que ce cadre est marié avec une belle blonde.

Quelques heures plus tard, l’homme apprend que le cadre n’est pas en vacances mais est mort. Et il vivait seul. C’est là que l’homme qui occupe les lieux va faire la découverte de cette blonde, morte sous le lit, et qui revient à la vie pour hanté l’occupant des lieux. Histoire des plus banale et sans intérêt. Un court-métrage qui n’est pas à la hauteur du travail de Takeshi Shimizu.

Le cinquième court-métrage de Dark Tales of Japan 2004 est : « Pressentiment » (23 minutes). Dernier court métrage, qui est selon moi le meilleur. Un homme d’entreprise se retrouve à travailler tard le soir et part le dernier du boulot. Celui à dérobé la liste de personnes ayant de fortes créances avant de partir de son bureau et de prendre l’ascenseur pour rejoindre sa voiture et sa femme qui l’attend à un arrêt de train. Celui se retrouve dans l’ascenseur accompagné d’une vielle dame, d’un vieil homme et d’une jeune femme. L’ascenseur tombe en panne et il se retrouve coincé. Une fois connaissance faites avec les 3 autres personnes, il réussi à contacter le service de maintenance de l’ascenseur. Grâce à une caméra de sécurité, l’un des techniciens de maintenance, lui indique qu’il est seul dans l’ascenseur et qu’il n’y a personne d’autre, ni vieille femme, ni vieil homme et ni jeune femme.
Celui-ci comprend alors que ces derniers sont des fantômes venus admirer sa mort prochaine. Pour conclure, Dark Tales of Japan 2004 est intéressant sans passer dans la classification très bon ou chef d’œuvre, mais à le mérite de détendre et d’en apprendre sur les légendes japonaises.

Informations sur Dark Tales of Japan 2004

2004 | Horreur | Japon | Des films de Norio Tsuruta, Yoshihiro Nakamura, Takashi Shimizu, Koji Shiraishi et Masayuki Ochiai

Dark Tales of Japan 2004
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Résumé
Date de la critique
Titre du film
Dark Tales of Japan
Note
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