Final Fantasy VII : Last Order
Réalisé par : Asaka Morio
Scénariste : Inukai Kazuhiko
Année : 2005
Pays : Japon
Genre : Jeux Vidéo/Science Fiction
Durée : 25 minutes
Scénario : Suite au massacre de Nibelheim par Sephiroth ; Zack et Cloud tentent de fuir les forces de la Shinra et de rentrer à Midgar. Durant leur fuite, ils se souviennent des événements atroces ayant pris place à Nibelheim et leur combat désespéré contre le conglomérat Shinra…
Critique
Final Fantasy VII : Last Order est un OAV accompagnant l’édition Ultimate de Final Fantasy VII : Advent Children.
L’histoire se déroule avant l’intrigue du jeu vidéo, mais reprend nombreuses scènes de flash-back de ce dernier et se focalise sur les événements ayant eu lieu dans la ville de Nibelheim.
Séphiroth et Zack sont deux combattants d’élites du groupe SOLDAT envoyés à Nibelheim pour mener une investigation sur le réacteur Mako.
Ils sont accompagnés d’un jeune soldat se nommant Cloud, Cloud étant le personnage que l’on contrôle dans le jeu Final Fantasy 7 sur PS1.
Pour ne pas se perdre dans les montagnes menant au réacteur, ils font appel à Tifa, une guide locale plutôt mignonne.
Final Fantasy VII : Last Order débute réellement au moment où le village de Nibelheim brûle par l’intervention diabolique de Séphiroth, Zach va donc suivre la trace de ce dernier afin de venger les multiples vies qu’il a prises au village de Nibelheim.
Final Fantasy VII : Last Order, nous permet de revoir de mythique personnage du jeu vidéo, Cloud, Tifa, Zack, Sephiroth, et même les Turks, cette bande de pingouins en costumes noirs surgissant toujours de nulle part, et toujours l’origine d’un moment de comédie dans le jeu, beaucoup moins dans cet OAV malgré quelque petite touche d’humour.
L’animation est certes loin des œuvres d’animation d’aujourd’hui, mais à l’avantage de faire plaisir au fan du jeu vidéo.
Un petit OAV pour les fans, mais pas forcément pour le grand public en général.
25 minutes qui passent très vite et nous remontrent en animation des cinématiques du jeu, et rien que cela, c’est un plaisir.